Les Talons Rouges (Épisode N°06 Bis) Vi Bis– Sodomite

LES TALONS ROUGES (épisode N°06 bis)

Ce récit que j'ai classé par erreur n°09 est en fait la suite du n°06 LA COMTESSE - je viens donc de le reclasser en n°06BIS.
Je demande aux lecteurs et à HDS de bien vouloir m'en excuser.

Agathe, âgée de quarante-cinq ans et assez effacée, elle se laisse dépuceler et dévergonder par Jacques, un jeune homme de trente-deux ans, ami de son neveu. Le beau Jacques profitant de sa candeur et de son innocence la dévergonde, entraînant également la sœur d’Agathe, la belle comtesse Gaëlle de Santesteban, qui elle, approche de la cinquantaine. Cinq mois plus tard, alors que celle-ci est seule au château Jacques revient de voyage et la provoque, la soumettant à ses désirs.



VI BIS– Sodomite


Jacques lui demande dans un murmure s’il n’y a pas un lit disponible dans ces pièces inoccupées. Reprenant son rôle de maîtresse de maison, la belle comtesse se lève et passant dans une chambre proche, elle retire vivement la housse d’un grand lit à baldaquin, puis, sortant d’une armoire une parure de draps et de taies d’oreillers, elle fait prestement le lit, se glissant malicieusement sous les draps en appelant son partenaire de libertinage. Jacques la rejoint aussitôt, l’enlaçant et l’embrassant pour lui enlever toute trace de culpabilité sur les débordements auxquels elle s’est livrée.

Gaëlle se love contre l’homme, qui bien qu’elle s’en défende encore un peu, la révèle dans ce qu’elle aspire contre toute évidence, c’est-à-dire ses envies refoulées et ses fantasmes les plus secrets, alors que, malgré l’immoralité de sa conduite éhontée, elle est comblée au plus intime de sa chair. D’ailleurs, se replongeant dans la fange érotique qu’elle ressent encore, elle se masturbe sans vergogne, tandis qu’elle caresse le sexe mou de son amant qui a du mal à récupérer. Celui-ci voyant les bonnes dispositions de la comtesse lui souffle à l’oreille.

- Ma chère comtesse, si vous voulez me faire un grand plaisir, j’aimerais que vous preniez mon sexe entre vos jolies lèvres.

Vous l’avez fait, à l’instigation de votre sœur. Le feriez-vous aujourd’hui de votre propre fait ?

Gaëlle le regarde au fond de ses yeux, alors qu’un voile passe sur les siens. Pourtant elle ne recule pas devant le dégoût que lui inspire le membre souillé, elle se penche sur le ventre velu de l’homme, prenant délicatement la verge entre ses lèvres, elle mordille la chair encore molle jusqu’à la sentir gonfler dans sa bouche. Elle réalise à cet instant le pouvoir qu’elle peut avoir sur un homme. Cela l’excite au plus profond d’elle-même. Elle s’applique à lécher et aspirer ce membre qui devient de plus en plus dur entre ses lèvres, le faisant coulisser jusqu’au fond de sa gorge, n’ayant plus aucune répugnance pour l’organe qui lui a donné un plaisir qu’elle ne peut se dissimuler. Elle titille le gland décapuchonné, s’apercevant bien vite que cette extrémité est très réceptive à ses caresses linguales et d’une grande sensibilité, au moins égale à celle de son clitoris.

Dans un chuchotement, Jacques lui demande de se retirer et de continuer avec ses doigts. Lorsque le foutre jaillit du méat entrouvert et dégouline sur ses doigts, elle comprend que son amant a voulu lui éviter de profaner sa bouche avec sa semence. Elle lui en est reconnaissante, bien qu’elle se doute que le moment viendra où il lui faudra recevoir cette matière gluante jusqu’au fond de son palais. Curieusement, elle ne remet même pas en question cette pratique qu’elle n’a jamais voulu accorder à son mari et qu’elle n’a jamais pratiqué auparavant. C’est alors, que pour satisfaire son soudain intérêt, elle lèche avec délicatesse le sperme qui s’écoule encore du gland, goûtant cette liqueur un peu salée et fade, prenant d’un seul coup une délectation dépravante à enfouir la verge dans sa bouche pour nettoyer avec sa langue la tige gluante.

Jacques la contemple avec une certaine admiration. Cette femme aristocratique de cinquante ans, qui découvre les joies et les peines de l’amour charnel, avec une curiosité et une disponibilité aussi étonnantes a de quoi surprendre.
Il la prend dans ses bras pour la remercier.

- Ma chère Gaëlle, vous m’avez fait jouir divinement et je vous en remercie. Vous avez des dispositions insoupçonnées ma douce, entre votre sœur et vous je vais avoir du mal à choisir. À moins que vous soyez d’accord toutes les deux pour m’aimer et me laissez-vous aimer en même temps. Je raffole de vos deux corps si dissemblables. Seriez-vous disposée ma chère, à vous initier à des jeux amoureux plus luxurieux et à vous soumettre à mes plus fantasmes les plus dissolus ?

Gaëlle frissonne dans ses bras, effrayée par le sens des paroles qu’elle vient d’entendre. Que va-t-il lui arriver si elle accepte les propositions inconvenantes de son compagnon ? Dans quelles dépravations répugnantes risque-t-il de l’entraîner si elle consent à le suivre dans ses dérèglements ? Malgré ces interrogations, son attirance récente pour les joies de la chair et sa curiosité pour ce qu’elle soupçonne dans la perversité de son partenaire aiguise ses désirs les plus secrets. Avec hésitation, elle se décide à répondre affirmativement aux demandes incongrues de cet amant un peu fou.

- Vous savez bien que je ne peux rien vous refuser Jacques. Vous tenez mon honneur entre vos mains, aussi je ne puis qu’accepter vos propositions. Mais rassurez-vous ! Je suis aussi curieuse de tous les égarements dans lesquels vous risquez de m’entraîner, car vous m’avez fait jouir comme jamais je ne pouvais imaginer que cela puisse exister. Ma sœur vous a offert son corps, je vous offre le mien. Disposez de nous deux à votre convenance. J’espère seulement que je ne fais pas un pacte avec le diable et que ma tendre et jeune sœur ne m’arrachera pas les yeux.

- Ma chère comtesse, votre réponse est royale ! Je plaisante bien sûr. Attendez-vous au pire, car je ne vous ménagerais pas. Vous avez un corps et un mental qui sont faits pour l’amour. J’espère que nous aurons l’occasion, ensemble ou avec d’autres, de profiter des joies de la chair et de jouir encore plus à chaque rencontre.
Pour Agathe, ne vous inquiétez pas, elle se découvre autant de dispositions que vous pour des amours multiples, et puis, pourquoi vous en voudrait-elle ? C’est bien elle qui vous a permis de me faire l’amour. Allons, trêve de bavardages, voulez-vous que nous nous remettions en condition ma chère ? Je vois que vous êtes d’accord. Si vous le voulez bien, restez étendue ainsi et écartez vos jambes. Bien, nous allons faire un 69, vous savez ce que cela représente, pendant que je vais sucer votre minou, vous allez prendre ma verge dans votre bouche et nous nous appliquerons à nous faire du bien mutuellement.

Le couple s’installe dans la position de la bête à deux dos, se gougnotant ensemble leur sexe respectif. Jacques aspire avec délices la liqueur parfumée de la chatte si tendre de sa compagne, il glisse un doigt dans la grotte vulvaire, recourbant son index pour frotter doucement le point que l’on appelle « G », puis il frotte doucement avec son doigt le méat urinaire, déclenchant l’excitation de l’urètre, accentuant encore l’émission des sécrétions vaginales qu’il lèche et avale sans discontinuer. Alors que Gaëlle le pompe avec ardeur, il glisse son autre main entre les fesses qu’il caresse avant de malaxer d’un doigt la rosace de l’anus très serré qui se contracte violemment au contact du doigt fureteur. Avançant sa tête, Jacques commence à lécher l’œillet violacé qui semble vouloir rétracter tous ses plis. Pourtant, sa langue humecte le petit trou et s’infiltre même légèrement tout au bord des sphincters. Gaëlle remue beaucoup sous lui, cherchant à se dégager, mais ne lâchant tout de même pas sa verge qu’elle mord parfois violemment. Jacques arrive à faire pénétrer un doigt dans le conduit étroit, aidé en cela par la salive qu’il pousse de sa langue.

Gaëlle s’est résignée à cette pénétration incongrue de son anatomie, se doutant bien que ce n’est qu’un prélude, et bien qu’horrifiée à la pensée que le gros sexe qu’elle a dans sa bouche pourrait bientôt s’attaquer à son petit derrière.
Elle ne peut qu’être troublé par cette pratique de la sodomie, si en vogue dans tous les milieux actuels. D’autres femmes qu’elle et de très jeunes filles à ce qu’elle a cru comprendre, sont des adeptes et « adorent se faire enculer », comme elles disent à la télévision dans des émissions qui passent le soir très tard. Elle n’est pas sotte, elle suit l’actualité de près, mais elle ne se doutait pas en regardant ces reality-shows, qu’un jour elle serait confrontée à cette situation. Dire que même son époux, en trente ans de vie commune, n’a jamais osé lui demander une telle pratique. C’est à ce moment que Jacques s’adresse à elle, interrompant ses rêveries.

- Gaëlle, mon amour, vous seriez très aimable de me rendre le même service que je vous rends actuellement. Un de vos doigts dans mon rectum me ravirait et même deux si vous le souhaitez.

La pauvre comtesse est ahurie par cette demande. Pourtant apparemment Jacques n’est pas homosexuel. Pourquoi veut-il être sodomisé, même avec un ou deux doigts, Gaëlle ne sait que faire lorsque Jacques la rappelle à l’ordre.

- Ma chère, qu’attendez-vous ? Si vous ne vous exécutez pas, je me verrais obligé d’entrer trois ou quatre doigts dans votre cul bien trop serré, c’est cela que vous voulez ou ma bite en prime !

Gaëlle est atterrée par les propos orduriers de son compagnon. Il ne l’a pas habitué à un tel langage jusqu’ici. Affolée par ce qu’il lui promet, elle s’empresse de vriller son long doigt manucuré dans le rectum masculin, raclant de son ongle interminable le fondement masculin. Alors qu’il a introduit un deuxième doigt dans le sien, lui ramonant son conduit rectal avec vigueur jusqu’aux intestins, elle ose adjoindre son majeur dans le cul de l’homme qui grogne un peu, mais qui la supplie d’entrer encore un autre doigt. Enflammée par ce qu’elle ose faire, elle présente cette fois deux autres doigts au cratère qui s’ouvre sans difficulté, c’est à présent quatre doigts qu’elle projette à présent dans les entrailles de l’homme, lui arrachant des cris inarticulés, mais dont elle comprend tout de même qu’il lui crie de continuer. Furieusement elle lui pilonne son arrière-train, prenant un certain plaisir à le voir souffrir. Bientôt pourtant, un rugissement sort de ses lèvres alors qu’il se libère, aspergeant sa bouche de son sperme qui sort à gros bouillons. Après une brève hésitation, elle n’ôte pas le membre de ses lèvres, aspirant le sexe gluant de sperme, avalant le suc poisseux qui jaillit encore du méat entrouvert, suçant le vit de cet homme effroyable qui sait tant la faire jouir. Car pour elle aussi, la jouissance monte progressivement jusqu’à son paroxysme. Alors que son clitoris est aspiré par les lèvres masculines, son vagin et son anus sont envahis par les doigts fureteurs qui ramonent sans arrêt ses entrailles. Soudain, elle crie sa joie et sa douleur mélangées, barbouillée du sperme qui coule sur son menton et dégouline entre ses seins.

- Oh ! Oh ! Oh ! Oui ! Ouiiiii ! Ouiiiii ! Ouiiiii ! Ouiiiii ! Oh ! Mon Dieu ! Oui ! Viens mon chéri ! Encore ! Encore !… Aaaaaaaaaaahhhh !........ Aaarrrrrrrr !... Ouuuuiiiiiiiiiii......... Mon Dieu c’est trop bon !... Aaaaahhh !.... Je n’en peux plus……… Aaaaassez !... Oh ! Je t’aimeeeeeeeeeeeeee…..

Jacques, après cette folie voluptueuse, vient de nouveau, dans le bon sens cette fois, s’allonger auprès de la comtesse. Il l’embrasse tendrement, mélangeant les deux liqueurs dans leurs bouches, s’aimant bientôt de nouveau normalement alors qu’il a repris des forces, s’entremêlant furieusement comme des bêtes jusqu’à l’épuisement total des deux combattants.

Il y a maintenant près de cinq heures qu’ils « visitent » les appartements inoccupés du château. Heureusement ils sont seuls en ce moment au domaine car il n’y a pas d’invités à part Jacques. Mais les domestiques pourraient s’étonner d’une si longue absence. Gaëlle remet donc sa longue robe si peu érotique, faisant un ballot de sa culotte et de son collant déchirés, puis, avec Jacques ils refont le parcours en sens inverse, se promettant de se retrouver le soir même dans la chambre de Gaëlle.

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